Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Pour En Savoir Plus Sur Nous...

  • Section de Toulouse-Languedoc d'Action française
  • Refondée en 2008 après une période d'hibernation par le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest Vincent Gaillère, la section de Toulouse & Haut-Languedoc rayonne sur la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Lot, l'Aude, l'Aveyron, l'Ariège et les Pyrénées-Orientales.
  • Refondée en 2008 après une période d'hibernation par le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest Vincent Gaillère, la section de Toulouse & Haut-Languedoc rayonne sur la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Lot, l'Aude, l'Aveyron, l'Ariège et les Pyrénées-Orientales.

Pas d'exclusive chez nous... sauf contre l'Anti-France!

Tout ce qui

est national

est nôtre.

Le Duc d'ORLEANS.

Vous Cherchez, Nous Trouvons!

"Que faire?" La réponse de Maurras!

"Pas de doctrine

sans action,

pas d'action

sans doctrine!"

(MAURRAS)

 

Archives Militantes De L'action Française-Toulousain Depuis 2007!

14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 09:00

Il est rare que Le Monde fasse une analyse exacte de la situation proche-orientale. On lira donc avec plaisir la tribune qui suit. Bien que l'Action française soit opposée à la conception d'"une terre, deux Etats", qui ratifierait les spoliations intervenues au profit d'Israël depuis 1948, les faits qui sont rapportés montrent bien de quel côté penche la balance des intérêts économiques. Elle n'est pas favorable aux Palestiniens. Une information à bien méditer, si l'on souhaite une solution équitable à la question posée par la présence d'Israël en Terre sainte.

 

A.F.-Toulouse & Haut-Languedoc

 

V Victoire

 

"Dans le conflit israélo-palestinien, l'Europe, une fois n'est pas coutume, a été un précurseur. avec sa déclaration de Venise de 1980, elle a, la première, posé le principe d'une solution fondée sur deux Etats: la création d'un Etat palestinien en Cisjordanie, à Gaza et dans la partie orientale de Jérusalem - au côté de l'Etat d'Israël.

 

"Trente-deux ans plus tard, l'Union européenne (U.E.) trahit cette politique. Elle est en train de renier ses engagements, de les réduire à une pure hypocrisie rhétorique. C'est une situation aussi pathétique que désolante, dont personne ne parle à Bruxelles - et contre laquelle la France aurait dû s'insurger à l'occasion de la visite, cette semaine à Paris, du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou.

 

"Courageuse et visionnaire, la déclaration de Venise se prononçait pour l'autodétermination des Palestiniens et pour l'ouverture de négociations avec leur mouvement national (l'O.L.P.). Un double tabou était levé, bien avant que les Etats-Unis ne s'alignent sur cette position, en 1993, avec les accords dits d'Oslo.

 

"En bonne logique, la politique européenne suppose une condamnation sans appel des colonies israéliennes dans les territoires palestiniens. Et telle est bien la ligne officielle affichée à Bruxelles : ces implantations sont "illégales au regard du droit international ; elles constituent un obstacle à l'instauration de la paix ; elles risquent de rendre impossible une solution fondée sur la coexistence de deux Etats".

 

"Vaines paroles. L'Europe participe, en fait, au développement des implantations israéliennes en Cisjordanie. Elle facilite le contrôle de quelque 40 % de ce territoire par Israël. Elle est complice d'un renforcement continu d'une présence israélienne qui empêche la reprise d'une négociation sérieuse entre les deux parties.

 

"Telles sont les conclusions d'un rapport établi par vingt-deux organisations intergouvernementales européennes. Elles appartiennent à des pays qui sont tous des amis d'Israël et entendent, à raison, le rester. Accablant pour l'Union, ce document est préfacé par l'ancien commissaire européen aux relations extérieures, Hans van den Broek - un homme qu'on ne soupçonnera pas d'engagements extrémistes.

 

"Le rapport établit que l'UE importe massivement des marchandises - produits agricoles et industriels - provenant des implantations israéliennes. L'Europe soutient ainsi la "viabilité" des implantations, dit le rapport, et facilite leur développement.

 

"Ces importations sont estampillées "Made in Israël". Il suffirait que l'Europe exige un étiquetage plus précis. Elle ne le fait pas. Elle a tort. Elle ne rend service ni aux Israéliens ni aux Palestiniens. Car elle contribue ainsi à une évolution qui est en train de torpiller l'idée même d'un Etat palestinien sur un territoire viable et continu.

 

"L'Europe appuie ce phénomène dangereux qu'est la banalisation totale du mouvement de colonisation en cours. Celui-ci ne suscite plus que des condamnations formelles de l'Europe et des Etats-Unis. Comme si on avait enterré l'espoir d'un Etat palestinien."

 

Source: http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/11/01/israel-palestine-l-europe-se-renie_1784419_3232.html

 

chèque éd

 

P.S. Notes sur le commerce européen

avec les colonies sionistes.

 

"La position de l’Union européenne est on ne peut plus claire : les colonies israéliennes dans les territoires palestiniens occupés sont illégales au regard du droit international, elles constituent un obstacle à l’instauration de la paix et elles risquent de rendre impossible une solution à deux Etat.(1) Pourtant, le présent rapport s’attache à montrer la manière dont la politique européenne, dans la pratique, contribue également à soutenir les colonies. Il révèle que l’Union européenne importe quinze fois plus de marchandises en provenance des colonies illégales israéliennes que des Territoires Palestiniens occupés.

 

"Les colonies israéliennes sont des communautés établies sur les territoires occupés par Israël depuis 1967. Aujourd’hui, plus de 500 000 colons israéliens vivent dans différentes régions de la Cisjordanie occupée, y compris à Jérusalem-Est. Les colonies contrôlent plus de 42 % de Cisjordanie et la majorité de ses ressources hydriques et naturelles. (2) Leur empiètement quotidien sur le territoire palestinien fragilise la concrétisation de la solution fondée sur la coexistence de deux États prônée par l’Union européenne.

 

"Ces deux dernières années, l’expansion des colonies s’est accélérée, la construction de plus de 16 000 nouveaux logements ayant été annoncée ou approuvée. (3) En attendant, les démolitions de structures palestiniennes – y compris celles qui sont financées avec le soutien de fonds de l’Union européenne – se multiplient, et ont ainsi entraîné en 2011 le déplacement de plus d’un millier de personnes, soit près du double du chiffre enregistré en 2010. (4) Les deux années passées ont également été marquées par un nombre sans précédent d’attaques violentes de colons à l’encontre de Palestiniens.

 

"Un système discriminatoire

à deux vitesses

 

"En instaurant des colonies, les gouvernements israéliens qui se sont succédé ont établi en Cisjordanie un système discriminatoire à deux vitesses, les colons bénéficiant de tous les droits et privilèges attachés à la citoyenneté israélienne, tandis que les Palestiniens sont soumis aux lois militaires israéliennes qui les privent de leurs droits fondamentaux.

 

"Les déplacements des Palestiniens au sein de la Cisjordanie et leur accès aux services de base, notamment aux hôpitaux, continuent d’être entravés par quelque 542 obstacles à la circulation, dont des barrages routiers et des postes de contrôle, malgré un relatif assouplissement ces dernières années. En outre, l’accès à l’eau reste extrêmement inégal, Israël étant à l’origine d’une sur-extraction des ressources hydriques de la Cisjordanie, tout en empêchant les Palestiniens de forer de nouveaux puits et de développer leur infrastructure hydrique. Dans certains cas, le pompage des eaux souterraines destinées à l’irrigation des cultures pour l’exportation sur les exploitations agricoles des colonies a entraîné l’assèchement des puits palestiniens situés à proximité, limitant ainsi la capacité des Palestiniens à cultiver leurs propres terres.

 

"Les deux économies de la Cisjordanie

 

"Les agriculteurs et les fabricants des colonies bénéficient de diverses subventions israéliennes et d’un accès simplifié aux marchés internationaux grâce aux routes que le gouvernement israélien a construites pour contourner les zones peuplées par les Palestiniens. Offrant un contraste saisissant, l’économie palestinienne est sévèrement entravée par les restrictions qu’impose Israël à l’accès aux marchés et aux ressources naturelles, dont le coût annuel a été estimé à 5,2 milliards €, soit 85 % du PIB palestinien.(6) Conséquence de ces restrictions : les exportations palestiniennes, qui dans les années 1980 représentaient plus de la moitié du PIB palestinien, se montent ces dernières années à moins de 15 % du PIB, réduisant ainsi à néant tout bénéfice qui pourrait être dégagé de l’accord commercial préférentiel que l’UE a conclu avec les Palestiniens.

 

"Il en résulte une situation où l’Autorité palestinienne est dépendante des sommes importantes que lui octroient l’UE et d’autres donateurs étrangers et qu’elle est aujourd’hui confrontée à une crise fiscale grave.

 

"Les contradictions du commerce de l’Europe

avec les colonies israéliennes

 

"D’après les dernières estimations que le gouvernement israélien a communiquées à la Banque mondiale, le volume des importations de l’UE en provenance des colonies est de 300 millions $ (230 millions €) par an (8) ; cela représente environ quinze fois la valeur annuelle des importations de l’UE provenant des Palestiniens.(9) Étant donc que plus de quatre millions de Palestiniens et plus de 500 000 colons israéliens vivent dans le territoire occupé, cela signifie que l’UE importe plus de 100 fois plus par colon que par Palestinien.

 

"Parmi les produits des colonies les plus vendus en Europe figurent des produits agricoles tels que les dattes, les agrumes et les herbes, et des produits manufacturés dont des produits cosmétiques, des machines à gazéifier, des plastiques, des produits textiles et des jouets.

Bien qu’insistant fermement sur le fait que les colonies ne font pas partie d’Israël, l’Europe accepte que ces produits issus des colonies soient importés avec comme origine déclarée « Israël », consentant ainsi à l’extension de la souveraineté d’Israël sur les territoires occupés. Nombre de ces produits sont également vendus dans des magasins en Europe et étiquetés « Fabriqué en Israël », une mention susceptible d’induire en erreur, et qui prive les consommateurs du droit de prendre des décisions, en connaissance de cause, tel que le prévoit la législation européenne sur la protection des consommateurs en vigueur. Par conséquent, de nombreux consommateurs européens soutiennent à leur insu les colonies et les violations des droits humains qui y sont associées.

 

"Au-delà du commerce des marchandises issues des colonies, certaines sociétés européennes ont investi dans les colonies et les infrastructures connexes ou leur fournissent des services. Parmi ces sociétés figurent G4S (Royaume-Uni/Danemark), Alstom (France), Veolia (France) et Heidelberg Cement (Allemagne). D’autres, comme la Deutsche Bahn (Allemagne), AssaAbloy (Suède) et Unilever (Pays-Bas), ont cessé, ces dernières années, leurs activités en Cisjordanie, montrant ainsi l’exemple que devraient suivre les entreprises qui continuent de traiter dans les colonies.

 

"À ces contradictions au coeur de la politique européenne à l’égard des colonies illégales d’Israël vient s’ajouter le fait que l’UE s’est gardée d’exclure les colonies des avantages conférés par ses programmes de coopération et les accords bilatéraux qu’elle a conclus avec Israël. Dans plusieurs cas, les fonds publics de l’UE destinés à la recherche et au développement ont servi à soutenir directement des activités dans les colonies.(10) L’Accord UE-Israël sur l’évaluation de la conformité et l’acceptation des produits industriels (ACAA) illustre également le fait que l’UE s’est abstenue d’insister sur l’établissement d’une distinction catégorique entre Israël proprement dit et les colonies illégales.

 

"La voie à suivre

 

"Les nombreuses relations avec les colonies sont contraires aux obligations auxquelles l’Europe est tenue au titre du droit international, lequel stipule que les tierces parties, dont les gouvernements européens, ont pour devoir de ne pas reconnaître ni prêter une aide ou une assistance aux colonies, ainsi que celui de s’y opposer de manière effective. En pratiquant des activités commerciales avec les colonies et en contribuant à leur permanence, l’UE porte aussi un coup aux nombreuses années qu’elle a investies sur les plans politique et financier pour contribuer à l’instauration d’un État palestinien. Les gouvernements européens sont de plus en plus conscients de la nécessité de rapprocher leurs discours sur les colonies des politiques mises en oeuvre. Les gouvernements britannique et danois ont déjà pris des mesures concrètes en adoptant des directives relatives à l’étiquetage correct des produits issus des colonies. Mais les gouvernements nationaux et l’UE ont encore beaucoup à faire pour s’assurer que leurs politiques ne soutiennent pas directement ou indirectement les colonies et les injustices qui y sont associées."

 

Source : ccfd-terresolidaire.org le 30 octobre 2012

 

 

"Une large coalition d’ONG appelle l’Union européenne à agir de manière concrète au-delà des discours sur les colonies

 

"L'Union européenne importe quinze fois plus de marchandises des colonies illégales israéliennes que des Palestiniens [1], révèle un rapport publié par 22 organisations non-gouvernementales, dont le CCFD-Terre Solidaire et la Fédération internationale des ligues des droits de l'Homme (FIDH).

 

"Intitulé "La paix au rabais : comment l'Union européenne renforce les colonies israéliennes illégales ", ce rapport est le premier à comparer les données d'exportations disponibles concernant les colonies israéliennes et les Territoires palestiniens occupés. Il souligne les contradictions de la politique de l'Union européenne. L'Union européenne a déclaré que « les colonies sont illégales au regard du droit international, elles constituent un obstacle à l'instauration de la paix et elles risquent de rendre impossible une solution à deux Etats » [2] ; pourtant, elle continue de fournir un marché d'exportation principal pour les produits issus des colonies. La plupart des Etats membres de l'UE, dont la France, n'assurent pas un étiquetage correct de ces produits dans les magasins, laissant les consommateurs dans l'ignorance quant à leur origine, contrairement aux directives de l'UE .

 

« L'Europe maintient que les colonies sont illégales au regard du droit international, or elle continue de commercer avec elles. Les consommateurs achètent aujourd'hui des produits étiquetés comme provenant d'Israël alors qu'en réalité, ils proviennent de colonies basées en Cisjordanie. Ils contribuent ainsi, malgré eux aux injustices commises à l'encontre des Palestiniens », souligne Bernard Pinaud, Délégué Général du CCFD-Terre Solidaire.

 

"Le rapport, préfacé par l'ancien Commissaire de l'UE aux Relations extérieures, Hans van den Broek, appelle les gouvernements européens à adopter une série de mesures concrètes pour qu'ils cessent de soutenir l'expansion des colonies et que l'écart entre leurs paroles et leurs actes soit ainsi comblé. La coalition demande a minima à ce que des lignes directrices claires soient adoptées sur l'étiquetage des produits afin que les consommateurs européens n'achètent plus sans le savoir des marchandises issues des colonies. [3] De telles directives existent déjà en Grande-Bretagne et au Danemark [4] et plusieurs autres pays membres, comme la Suède et la Finlande, les envisagent.

 

"Le commerce avec les colonies est à l'agenda de l'UE depuis mai 2012, période à laquelle les ministres des Affaires étrangères de l'UE ont fortement critiqué « la nette accélération de la construction de colonies » et ont appelé, pour la première fois, à une application entière de la législation européenne existante en matière de produits issus des colonies. [5]

 

"Le gouvernement israélien estime que le montant des importations européennes provenant des colonies est d'environ 230 millions d'euros par an [6] ; ce chiffre est à comparer aux 15 millions d'euros par an d'importations provenant des Territoires palestiniens [7]. Cet écart s'explique par la conjonction de deux éléments : d'une part, la politique israélienne accorde des subventions conséquentes aux colons [8], y compris pour les infrastructures, le développement des affaires et de l'agriculture ; d'autre part, elle impose des restrictions drastiques sur l'accès aux marchés et aux ressources naturelles pour les Palestiniens.

 

L"es colons bénéficient d'un accès facile aux marchés internationaux et ont pu établir des agro-industries modernes et des zones industrielles. L'économie palestinienne est, à l'inverse, "fortement entravée par un système à plusieurs niveaux de restrictions" [9] imposé par Israël, incluant des barrages routiers, des points de contrôles et un accès limité à la terre, à l'eau et aux engrais. En conséquence, les exportations palestiniennes qui, dans les années 80, représentaient plus de la moitié du PIB palestinien, ont chuté ces dernières années à moins de 15% du PIB [10], réduisant ainsi à néant tout bénéfice qui pourrait être dégagé de l'accord commercial préférentiel que l'UE a conclu avec les Palestiniens.

 

« L'Union européenne dépense des centaines de millions d'euros chaque année dans l'effort de construction d'un Etat palestinien. Mais ce soutien est remis en question par son commerce avec les colonies illégales qui contribue à leur rentabilité et à leur expansion » déclare Phyllis Starkey, du Conseil d'Administration de l'ONG Medical Aid for Palestinians et ancienne députée britannique.

 

"Parmi les marchandises des colonies vendues en Europe et en France, on retrouve des produits agricoles tels que les dattes, les raisins, les agrumes et les herbes, les vins, et des produits manufacturés, dont les produits cosmétiques d'Ahava, certains composants de machines à gazéifier de SodaStream et les meubles de jardin en plastique fabriqués par Keter.

 

« Les marchandises provenant des colonies de Cisjordanie sont produites grâce aux démolitions de maisons, aux confiscations de terres et à l'occupation militaire. Il est temps pour les gouvernements d'aller au-delà des condamnations rhétoriques des colonies et de s'assurer au minimum que les consommateurs puissent prendre des décisions éclairées au sujet de ces produits en magasins. Ceci est la condition qui permettrait d'être en accord avec le droit européen et international », signale Souhayr Belhassen, Présidente de la FIDH.

   

"Organisations signataires : APRODEV, Broederlijk Delen (Belgique), Caabu (GB), CCFD - Terre Solidaire (France), Christian Aid (GB et Irelande), Eglise de Suède, Cordaid (Pays-Bas), DanChurchAid (Danemark), Diakonia (Suède), Fédération internationale de droits de l' Homme (FIDH), FinnChurchAid (Finlande), ICCO (Pays-Bas), IKV Pax Christi (Pays-Bas), Medical Aid for Palestinians (GB), Medico International (Allemagne), Medico International Suisse, the Methodist Church in Britain, Norwegian Church Aid, Norwegian People's Aid, Quaker Council for European Affairs, Quaker Peace and Social Witness (GB), Trocaire (Irelande).

 

[1] Etant donné qu'il y a plus de 4 millions de Palestiniens et plus de 500,000 colons vivant dans les Territoires Occupés, ceci veut dire que l'UE importe plus de 100 fois plus par colon que par Palestinien. Source : voir ci-dessous.

 

[2] Dont voici un exemple : http://www.consilium.europa.eu/uedocs/cms_data/docs/pressdata/EN/foraff/116778.pdf

 

[3] En outre, des mesures plus complètes sont recommandées dans le rapport notamment :

 

Exclure les colonies des accords et des instruments de coopération avec Israël

Dissuader les entreprises européennes de mener des activités commerciales et d'investir dans les colonies

Empêcher les transactions financières qui soutiennent les colonies et les activités connexes

Interdire l'importation des marchandises issues des colonies

 

[4] Ces directives devraient être étendues pour couvrir également les produits non-alimentaires : http://archive.defra.gov.uk/foodfarm/food/pdf/labelling-palestine.pdf .

Les directives Danoise ont été récemment publiées le 05 Octobre 2012 : http://www.foedevarestyrelsen.dk/Foedevarer/Maerkning/Oprindelsesmaerkning_af_foedevarer/Maerkning%20af%20f%c3%b8devarer_fra_Israel_hhv_de_besatte_palaestinensiske_omraader/Sider/forside.aspx

 

[5] http://www.consilium.europa.eu/uedocs/cms_Data/docs/pressdata/EN/foraff/130248.pdf , page 12.

 

[6] Chiffre du Ministère Israélien des Affaires étrangères à destination de la Banque Mondiale en 2012 ; ceci représente environ 2% des exportations israéliennes vers l'UE. See : http://siteresources.worldbank.org/INTWESTBANKGAZA/Resources/AHLCReportFinal.pdf , p. 13.

 

[7] Moyenne de cinq ans sur la période de à 2007 à 2011 : http://trade.ec.europa.eu/doclib/docs/2006/september/tradoc_113382.pdf . Etant donné qu'il y a plus de 4 millions de Palestiniens et plus de 500,000 colons vivant dans les Territoires Occupés, ceci veut dire que l'UE importe plus de 100 fois plus par colon que par Palestinien.

 

[8] Selon une estimation récente, le gouvernement dépense 330 millions d'euros par an pour les colonies en sus des aides et subventions distribuées annuellement aux citoyens israéliens en Israël proprement dit : http://settlementwatcheastjerusalem.files.wordpress.com/2012/07/peacenowsavingsplan.pdf

 

[9] http://siteresources.worldbank.org/INTWESTBANKGAZA/Resources/AHLCReportFinal.pdf , page 11.

 

[10] http://www.imf.org/external/country/wbg/RR/2010/041310.pdf , page 4.

Partager cet article
Repost0
publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Politique étrangère

Nos Principes Élitistes-Populaires Et Ce Que Nous Offrons: "Du Sang, De La Sueur Et Des Larmes" (Churchill, Qui N'était Pas D'a.f.)