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Pour En Savoir Plus Sur Nous...

  • Section de Toulouse-Languedoc d'Action française
  • Refondée en 2008 après une période d'hibernation par le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest Vincent Gaillère, la section de Toulouse & Haut-Languedoc rayonne sur la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Lot, l'Aude, l'Aveyron, l'Ariège et les Pyrénées-Orientales.
  • Refondée en 2008 après une période d'hibernation par le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest Vincent Gaillère, la section de Toulouse & Haut-Languedoc rayonne sur la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Lot, l'Aude, l'Aveyron, l'Ariège et les Pyrénées-Orientales.

Pas d'exclusive chez nous... sauf contre l'Anti-France!

Tout ce qui

est national

est nôtre.

Le Duc d'ORLEANS.

Vous Cherchez, Nous Trouvons!

"Que faire?" La réponse de Maurras!

"Pas de doctrine

sans action,

pas d'action

sans doctrine!"

(MAURRAS)

 

Archives Militantes De L'action Française-Toulousain Depuis 2007!

14 mai 2018 1 14 /05 /mai /2018 08:00
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1 septembre 2017 5 01 /09 /septembre /2017 08:00

La section de Toulouse & Haut-Languedoc de l'Action française communique:

Une dissidence faiblarde

Contrairement à certaines allégations virtuelles, l'Action française Toulousain n’organisera pas de "réunion de rentrée" cette année, ni à Toulouse, ni à Bordeaux, Pau ou Bayonne. Cela lui est inutile: en contact permanent avec ses adhérents, militants, sympathisants et lecteurs du Journal, elle n'a nul besoin de se présenter pour se faire reconnaître comme le seul organe légitime et vivant du nationalisme intégral dans la grande région couvrant une vingtaine de départements du Midi-Pyrénées et de l'Aquitaine.

Nous mettons donc fermement en garde contre une poignée de jeunes activistes dispersés sur trois-quatre localités, inconnus au bataillon de la Vérité politique ou réputés racisto-identitaires, dotés de "chefs" parachutés de Paris (la personne se mettant en avant comme responsable de ce "coup" est l'une de celles à qui Pierre Pujo refusait l'accès aux colonnes du Journal, en raison de son hétérodoxie doctrinale!) qui prétendent faire reluire le miroir aux alouettes en criant qu'"avec eux, on va voir ce qu'on va voir"! La politique sérieuse est affaire de lenteur plus que d'agitation stérile sans lendemain. L’Action française Toulousain, forte de son expérience politique des coups tordus, est donc sereine: cette "dissidence", on en reparlera dans deux ans!

Notre légitimité d'Action française se fonde sur les faits

Cette mise au point faite, l'occasion nous permet de rappeler l'histoire de la section de Toulouse et la logique durable de ses activités. Notre section enracinée, active depuis 2008, a été refondée dans la ligne de Pierre Pujo et d'Henri Gept par la fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest, à la demande de nos amis toulousains. A l'époque trouble qui suit, encore aujourd'hui, la disparition de notre Chef incontesté, c'est seuls, - contre même certains "responsables" parisianistes qui, "maurrassiens" de salon et staliniens en pratique, ne veulent voir qu'une seule tête, vide de préférence mais alignée sur leur médiocrité, - que nous avons maintenu le flambeau de l’Action française dans le Midi. Voici, à titre d'exemple pour ceux qui en ignoreraient tout, quelques unes de nos activités de fond qui en témoignent:

2008: relance de la section par le Délégué régional Gaillère après le décès d'Henri Gept; expulsion d'un inverti interlope et d'un ex-attaché de groupe au conseil régional prétendant en accaparer la mémoire; conférences très appréciées de Philippe Prévost, historien bien connu de nos amis sur "Les origines de la tragédie palestinienne" et sur "La Condamnation de l'Action française: mythes et réalité", ainsi que, celle, très vivante, de Marguerite Puget, agrégée de lettres classiques (pas modernes, comme Diaphane Pâlichon!) sur la grande figure méridionale catholique et royaliste du cardinal de Cabrières; organisation dans la grande région du camp d'été Réal-del-Sarte de Biarritz 2008 auquel les Toulousains ont assisté en nombre.

2009: conférence bienvenue de Philippe Prévost sur "70 ans après sa levée: La Condamnation de l'Action française entre politique et religieux".

2011: conférences de haute volée de Gérard Bedel, professeur et directeur politique de L'Action Française 2000 sur "L'Action française en 2011: nationaliste et anticapitaliste", et de Philippe Prévost sur "L'Eglise, la France et les trois Ralliements: 1892 - 1926 - 1965".

2012: conférences très courues du Dr Philippe Ploncard d'Assac sur "Le nationalisme français" et de Philippe Prévost sur "La canonisation de Jeanne-d'Arc: un parcours du combattant politico-religieux".

2013: conférences retentissantes du journaliste et écrivain Jean-Michel Vernochet sur "Iran, destruction programmée?" et de Philippe Prévost sur "Vichy, acteur de la modernisation de la France".

2014: conférence marquante de Jean-Jacques Dumur, historien, sur l'histoire de "La Grande Guerre vue par le maréchal Pétain".

En outre, nous avons rétabli chaque année, depuis 2008, au jour de sa fête nationale, la fête de Jeanne-d'Arc, fête du patriotisme, sous la présidence du Délégué régional, et contribué, en toute indépendance, dans la grande région comme à l'extérieur, à diverses manifestations culturelles contre-révolutionnaires et autres colloques universitaires (notamment, présence de stands aux Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil et participation active au colloque parisien "La Grande Guerre inédite" et à celui sur Philippe Ariès).

Nos activités à l'avenir

L'Action française Toulousain continuera naturellement en 2017 et années suivantes ses activités, et ce jusqu'à instauration d'un Ordre nouveau, monarchique et national, enfin conforme aux intérêts du Peuple, dont elle est le meilleur défenseur. Si elle a paru ralentir, en surface, ses activités ces deux dernières années, cela est uniquement dû au fait que la période en cours étant largement parasitée par la campagne électorale permanente qui résulte de l'adoption du quinquennat, l'audience de l'Action française, déjà faible dans les médias, est inaudible du "Français moyen". De plus, bien que nous n'ayons rien à faire dans ce qui est une vaste comédie mise en scène par le Gros Argent, nous avons néanmoins donné des consignes de votes précises, largement suivies par nos amis, témoignant de notre vigilance patriotique et de notre engagement en faveur d'un "compromis nationaliste permanent".

L'année politique 2016-2017 a également vu notre présence sur la toile s'enrichir d'une page "fessebouc" ( https://www.facebook.com/Action-fran%C3%A7aise-Grand-Sud-Ouest-Bordeaux-Toulouse-Pau-Bayonne-1878104159091410/ ) quotidiennement (et souvent plus) mise à jour, qui démontre notre capacité de réaction raisonnée à l'actualité, tant nationale et internationale que locale, au plus près des réalités et des préoccupations méridionales.

Ainsi, la section de Toulouse & Haut-Languedoc de l'Action française, affiliée à la fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest fondée par Pierre Pujo, continue donc imperturbablement son chemin, sans hâter le pas, ni se soumettre à l'agenda de l'Anti-France, quelque soit sa couleur, fut-elle "catho" ou d’extrême-Droite! Nous annoncerons, sur ce blogue officiel de la section ( http://actionfrancaiseaquitaine.over-blog.com/ ), en temps utile, celles des activités que nous organisons à destination du grand public patriote; le reste de nos activités reste réservé à nos adhérents à jour de cotisation. 

Nos buts à long terme

Comme nous l'avons maintes fois déclaré ici, notre position sur le militantisme est: formation d'abord. Nous disons aux jeunes gens qui rêvent de coups d'éclat de commencer d'abord par lire Maurras, Bainville et Daudet; sans cette préparation indispensable pour laquelle nous tenons à leur disposition nos conseils pédagogiques, aucune action n'est durable (comme on s'en apercevra avec les clones qui prétendent "faire mieux que nous"); ensuite, et seulement ensuite, nous pourrions les admettre éventuellement dans les rangs de notre avant-garde (toutefois, après règlement préalable de l'adhésion: 120 euro pour un adulte, 240 pour un étudiant, payable exclusivement par virement bancaire à l'ordre de C.A.E.C. - C.C.P. La Banque postale 15 503 63 W BOR). Cette discipline est sans doute jugée trop dure par les dilettantes, mais c'est la condition du succès de nos idées.

La section, solidairement alliée aux autres sections de proximité de la Fédération (Bordeaux & Basse-Guyenne, Pau & Pyrénées, Bayonne & pays basque), ne se mobilise que pour les grands enjeux nationaux, tels que, par exemple, le projet de constitution européenne Giscard-Chirac il y a dix ans.

Il est malheureusement douteux que d'autres combats, aussi importants pour notre Indépendance, se représentent dans un futur prévisible, vu la stratégie d'évitement des conflits frontaux en matière doctrinale et d'évasion du domaine politique en faveur du "sociétal", que la classe politique a adoptée à la suite de la victoire du Peuple; si cette tactique rend d'autant plus difficile notre propagande souverainiste, nationaliste et royaliste, cela ne la frappe nullement d'obsolescence, mais exige de nous une inventivité stratégique et technique de tous les instants pour faire passer notre message à un public dépolitisé!

Pour ce but, nous devons cependant "être toujours prêts": parce qu'il illustre une disposition d'esprit propre à notre école politique, c'est bien le seul slogan que nous empruntons aux boy-scouts impuissants qui, des beaux arrondissements de Paris et de Lyon, prétendent diriger par oukases l'"Axion Front-XVI"! Les combats mineurs, sociétaux ou localiers, ne doivent pas disperser nos efforts qui consistent à forger une élite intellectuelle nationale capable de peser sur les événements politiques, le moment venu. Soyez-en sûrs, l’Action française Toulousain y prendra toute sa part, sous la direction de ses cadres légitimes et dynamiques.

Toulouse, le 1er septembre 2017.

Le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest

signé: GAILLERE

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11 février 2012 6 11 /02 /février /2012 19:00

4 Piliers Fédération

 

A la suite de son Congrès régional du 10 septembre dernier, la fédération Grand Sud-Ouest de l’Action française s’est fixée pour objectif à long terme l’enracinement du militantisme dans les provinces les plus diverses du Sud-Ouest aquitain. Cela supposait que d’autres sections voient le jour, à l’initiative de cadres audacieux. C’est désormais le cas, avec l’ouverture, samedi 28 janvier 2012, de la section de Pau & Pyrénées, la quatrième en dix ans, destinée à nos amis béarnais, bigourdans et gascons. Le récent grand chelem de janvier a permis de constater les forces en présence : la réunion à Pau d’une quinzaine de personnes, dont un tiers de jeunes, résolument contre-révolutionnaires, est un début prometteur. La présence à Bordeaux d’une quarantaine d’auditeurs, à Toulouse d’une trentaine, confirme leur vocation traditionnelle de capitales provinciales du nationalisme français, Bayonne se maintenant avec une vingtaine de participants. Des ventes à la criée sont désormais tenues dans toute la grande région.

 

Armes Pau 2

 

C’est en toute indépendance réciproque que la Fédération avait convié, du 26 au 29 janvier, le Dr Ph. Ploncard d’Assac, fils du célèbre journaliste maurrasien, à présenter librement dans ces villes sa vision du « nationalisme français ». Si l’on ne peut qu’être d’accord avec l’explication historique qu’il donne de sa naissance et avec sa critique des lâchetés d’un certain monde de Droite, en revanche, on ne saurait se contenter d’expliquer les succès de la Révolution par une double causalité complotiste, agissant en secret depuis la nuit des temps : une combinaison aussi simpliste se saurait. De même, les distinctions qu’il fait entre patriotisme et nationalisme, entre institutions et régime, les seconds primant les premiers, sont spécieuses. Il oppose des termes qui, en France, sont faits pour s’entendre et se compléter.

 

Bien qu’il se défende d’en faire une idéologie, on ne peut en définitive que retirer de son propos la désagréable impression d’une « absolutisation » du nationalisme, étrangère aux traditions de la pensée contre-révolutionnaire française, telle que l’A.F. la défend. Selon nous, la Nation n’étant pas une « idée » autonome, un dieu siégeant dans l’empyrée, mais une réalité tangible, charnelle, le nationalisme ne peut être qu’un instrument au service de la France ; la seule Institution qui puisse redonner durablement à celle-ci la plénitude de son être national est le Roi. Les « principes constitutifs » subjectifs, à connotation religieuse, que l’orateur allègue à l’appui de sa thèse discutable, ne sauraient que donner lieu à la plus grande ambiguïté, chacun mettant ce qui lui plait derrière ceux-ci.

 

Henri VII Roi de FMgr le Comte de Paris, Duc de France,

Chef de la Maison de France

(photo D.R.)

 

A l’inverse, l’intérêt national défini scientifiquement par l’empirisme organisateur peut seul mettre d’accord des Français divisés sur tout le reste : c’est le vrai sens du « politique d’abord » ! Aucun cas particulier ne vaut contre cette Vérité politique démontrée et toujours démontrable. Le seul port de salut pour la France est et demeure la Monarchie de la Maison de France, sous le règne de son Chef, Mgr le Comte de Paris, Duc de France, telle que Celui-ci l’a encore récemment définie : le Prince en Son Conseil, le peuple en ses Etats.

 

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publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Comptes rendus de nos activités
11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 08:00

Comme chaque année, la fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l’Action française, en collaboration avec ses actives sections locales de Bayonne & pays basque, de Bordeaux & Basse-Guyenne et de Toulouse & Haut-Languedoc, a organisé, les 7 et 8-Mai derniers, la fête nationale du patriotisme. Dans chacune des trois capitales provinciales, le Délégué régional de l’Action française dans le Grand Sud-Ouest a tiré, par son discours politique, les leçons de l’épopée glorieuse de la Libératrice du territoire au XVème siècle. Jeanne, vraie Jeune Fille royaliste et non héroïne populacière, est allée droit au Roi, qui, hier face aux Anglais, comme aujourd’hui contre les pouvoirs occultes, est la garantie de nos libertés, de notre progrès, de notre indépendance et du respect de notre personnalité nationale.

 

Jeanne vitrail

Un vitrail représentant Jeanne la Lorraine (Photo D.R.) 

 

La cérémonie de Bayonne, qui, pour des raisons pratiques, avait lieu la veille de la fête légale, a pâti des trombes d’eau. Cela n’a pas empêché nos amis présents d’écouter le discours et de trinquer à l’Ordre français ! Aucune croix blanche n’étant apparue dans le ciel, n’y voyons aucun signe divin particulier : l’édition de l’année prochaine montrera notre influence maintenue au pays basque.

 

A Bordeaux, à l’imitation et à la suite de l’Action française, un conglomérat de groupes hétéroclites – des électoraux, des catholiques, mêlés à des laïcards ! –  a célébré Jeanne-d’Arc cette année. Cette confusion des genres aurait pu être préjudiciable au bon déroulement de la cérémonie traditionnelle de l’Action française.

 

Grâce à notre organisation sans faille, qui a fait respecter les droits et les prérogatives de l'A.F., il n'en a rien été: après le discours, très apprécié, de près d’une demi-heure, du Délégué régional, une Dame royaliste a déposé au pied de la statue la belle gerbe de lys blancs, ceinte de tricolore, symbolisant notre fidélité à la mémoire de la bonne Lorraine, notre espoir et notre certitude du relèvement de la France.  

  11-05 Gerbe Bordeaux

La gerbe de l'Action française (Photo D.R.)

 

Pour la première fois depuis que l’Action française a redonné du lustre à cette cérémonie, une poignée de contre-manifestants pouilleux ont tenté de la perturber, pendant que la police – chose curieuse – les réprimait mollement. Il faut voir dans cette provocation ratée une reconnaissance paradoxale du travail accompli depuis une dizaine d'années dans le Sud-Ouest par l’A.F. La déliquescence de la République apparaît maintenant à tous au grand jour: rien n’empêche plus le développement de notre propagande nationaliste et royaliste en direction de toutes les couches du pays réel. Le chant de La Royale a d’ailleurs fait taire les insulteurs de Jeanne-d’Arc qui n’ont rien trouvé à répondre : c’est dire leur stupidité !

 

 11-05-08 Toulouse 5La gerbe de l'Action française à Toulouse (Photo D.R.)

 

A Toulouse, la fête a eu lieu sous le franc soleil du Lauragais dans une excellente ambiance. L’assistance renouvelée est en constante progression depuis que nous avons relancé ce pilier de notre action, il y a plus de trois ans. Une Jeune Fille royaliste a effectué le dépôt de la gerbe tricolore. Le verre de l’amitié a clos la cérémonie. A Bordeaux comme à Toulouse, d’intéressants contacts ont été noués.

 

Au total, la Sainte de la Patrie a été honorée comme il convient à l’occasion de sa fête nationale. L’A.F. a montré sa cohésion et sa résolution à maintenir dans l’avenir, contre tous les Pouvoirs de droite ou socialistes, contre toutes les manipulations de la police politique et de ses auxiliaires zélés, les anarchistes, et contre toutes les dissidences, la fête patriotique que les camelots du Roi ont imposé il y a cent ans au prix de 10.000 jours de prison.

 

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publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 07:00

L'Action Française 2000 n° 2793 est parue; précipitez-vous dans votre kiosque favori pour acheter cet excellent numéro.

 

05110004.jpg

La statue de Jeanne-d'Arc à Bordeaux fleurie par la Fédération Grand Sud-Ouest de l'A.F. (photo D.R.)

 

Une information hautement intéressante et symbolique ne manquera pas de frapper les militants d'A.F. On y lit en effet, dans la page "Mouvement" (15), que, des six fêtes de Jeanne-d'Arc organisées en province en cette année 2010, la fédération Grand Sud-Ouest de l'Action française, affiliée au Comité directeur, en organise trois: à Bordeaux, à Toulouse et à Bayonne. Notre Fédération est donc, en quelque sorte, championne de France du militantisme persévérant, par vents et marées!

 

Statue de Jeanne-d'Arc ToulouseLa statue de Jeanne-d'Arc à Toulouse (photo D.R.)

 

Cela remet à sa juste place bien des choses, propos fanfarons ou agitations stériles, par définition passagers et bien souvent parisianistes. Le but véritable de notre Fédération est mis en lumière par ce seul fait: elle travaille à la formation équilibrée des esprits et des caractères, dans la tradition éprouvée du nationalisme intégral, la seule complète de toutes les réactions qui se proposent actuellement aux Français. 

 

Il est heureux que la Vérité politique et le travail de terrain de notre Fédération sur le long terme finissent par être ainsi reconnus de tous.

 

 

Jeanne-de-Bayonne.jpgLa statue de Jeanne-d'Arc à Bayonne (photo D.R.)

 

Rendez-vous est donc joyeusement donné à tous nos amis patriotes, catholiques et français dimanche 9 mai 2010 dans les principales métropoles de la Grand Sud-Ouest pour honorer, dans l'amitié française, la Sainte de la Patrie, qui vit, dans la Monarchie traditionnelle, héréditaire, antiparlementaire et décentralisée, la seule solution pour sortir la France de la crise politique de son époque. Nous pensons de même aujourd'hui.

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publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Comptes rendus de nos activités
4 mars 2010 4 04 /03 /mars /2010 10:00

La section de Toulouse & Haut-Languedoc de l’Action française, affiliée à la fédération Grand Sud-Ouest, a participé dimanche 28 février à la journée, organisée autour de Philippe Prévost dans la banlieue de Toulouse par l’A.F.S., sur le thème Charles Maurras et la question religieuse.

Elle y a notamment tenu le stand du Journal et du Mouvement d’A.F. De fructueux contacts ont été noués avec le public de catholiques et de patriotes présent. De nombreuses contrevérités sur l’A.F. en Toulousain ont pu ainsi être redressées.

A.F._2000_2766_09-03-05_Couv.jpg 

A cette occasion, les ventes à la criée de L’Action Française 2000 ont repris à Toulouse, sous la direction du délégué régional de l’A.F. dans le Grand Sud-Ouest, Vincent Gaillère. Une importante conférence sur Bainville, historien d’Action française par Christophe Dickès est prévue le 24 avril.

 

Pour contacter les responsables :  utiliser la rubrique en bas de page.

 

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publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Comptes rendus de nos activités
21 juin 2009 7 21 /06 /juin /2009 18:00

Comme chaque année à pareille époque, la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest a honoré, sous la présidence de ses dynamiques responsables, la Sainte de la Patrie dans les pôles principaux de ses activités. La grande nouveauté était que Toulouse a renoué avec cette honorable habitude.

 

Le 10 mai, malgré la pluie battante, une Jeune Fille royaliste de Bordeaux a offert à Jeanne la superbe gerbe de lys de la Fédération. Le Délégué régional de l’A.F. dans le Grand Sud-Ouest, Vincent Gaillère, a ensuite prononcé un discours politique rempli de l’espérance qui animait nos Maîtres. La présence de jeunes réjouissait les cœurs transis des aînés. A la fin, La Royale et la Marseillaise ont été entonnées avec enthousiasme par l’assistance.


A Bayonne, le dépôt d'une gerbe par une Jeune Fille royaliste (photo D.R.)
 

Pendant ce temps, à Bayonne, la section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes de l’A.F., conduite par son délégué méritant, Philippe Fortabat-Labatut, avait réuni nos amis au pied de la statue de Jeanne au bûcher, due à Maxime Réal del Sarte, patron des camelots du Roi. Fervent témoignage de foi en l’avenir, c’est là aussi une Jeune Fille royaliste qui effectua le dépôt de la gerbe. Dans son allocution, Philippe Fortabat-Labatut a souligné le caractère symbolique de la manifestation devant une statue, dans la défense de laquelle la section, en union avec Pierre Pujo et L’A.F. 2000, a été en pointe, voici six ans. Contre les séparatistes et les ambitieux de tous poils, l’A.F. continuera donc d’agir où elle veut et comme elle veut !

 

Pour une raison indépendante de la volonté de la section de Toulouse & départements limitrophes, ce n’est que le 27 mai qu’a eu lieu, pour la première fois depuis plus de dix ans, la fête traditionnelle de Jeanne-d’Arc à Toulouse. Elle sera rétablie à sa date légale l’an prochain. Le délégué régional a présenté une gerbe tricolore à la belle statue équestre et a prononcé un discours très attendu par nos amis toulousains sur la position d’« abstention antidémocratique » de la Fédération aux élections européennes. L’A.F. n’a aucun intérêt à accentuer les divisions des patriotes. Il a mis en garde l’auditoire contre la conception raciste de la Nation des identitaristes, qui se diffuse actuellement dans les milieux catholiques, une impasse dangereuse qu’il convient d’éviter. Défendre les racines chrétiennes de la France, d’ailleurs plurielle comme aux Antilles ou à Mayotte, ne doit pas aboutir à l’inhumaine Europe blanche.



 

Le bilan de l’année politique 2008-2009 est donc cette fois encore positif et fait de la Fédération l’ensemble militant le plus vaste et le plus actif de France. 

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publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 20:00

En invitant les 24 et 25 janvier le président du Comité directeur dans ses pôles de propagande de Bordeaux, Toulouse et Biarritz, la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest de l’Action française entendait permettre au nouveau chef du Mouvement de rencontrer librement nos adhérents et sympathisants et de leurs tracer quelques directions politiques générales pour 2009. Hélas ! Eole en voulait à Athéna : de déplorables conditions atmosphériques provoquèrent l’annulation des réunions prévues à Toulouse et à Biarritz, cependant que celle de Bordeaux était maintenue contre vents et marées en présence de la fidèle cohorte de nos amis.


 

Ce fut l’occasion pour le délégué régional, Vincent Gaillère, de rappeler sur un ton familier en ce début d’année électorale que la démocratie ne tient pas les promesses que la démagogie des candidats fait miroiter. Il s’agit donc de ne pas se laisser prendre au miroir aux alouettes et de ne pas oublier que l’électoralite ne tient pas lieu d’une réflexion politique solide, accordée aux réalités nationales. Après les campagnes, la France et son intérêt à être gouvernée normalement subsistent. Il n’est d’ailleurs pas inintéressant de noter que la contrefaçon élyséenne de la monarchie française suscite un regain d’intérêt pour la version originale : en témoignent le fait que la rédaction gersoise de Sud-Ouest et celle de "Sud Radio" aient sollicité du délégué régional, à l’occasion du 216ème anniversaire de l’assassinat de Louis XVI, des interviouves, ayant bénéficié d’une grande diffusion.


 

 

On le voit, la Fédération est devenue en une décade la voix autorisée du nationalisme intégral dans le Grand Sud-Ouest et un acteur politique incontournable du pays réel. Sa volonté de continuer d’œuvrer à la pérennité de notre école de pensée et d’action sort donc intacte des récentes épreuves climatiques. Nous convions nos amis à renouveler d'ores et déjà leur adhésion et à participer aux prochaines réunions du cycle 2008/2009 de conférences dans la grande région.

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publié par la Fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 16:00

 

 

Les Actes de la 56ème Université d’été de Biarritz 2008 sont parus ! Pour les fêtes, achetez à vos proches, à vos enfants et à vos petits-enfants, de 7 à 77 ans, le C.D. de propagande « Biarritz 2008 » diffusé par le C.A.E.C. Vous y retrouverez, sous une présentation jeune et attrayante, l’intégralité de conférences de formation recherchées par le public cultivé, en particulier :

·      L’actualité de Maurras, par Stéphane Blanchonnet, président du Comité directeur.

·      La poésie de Maurras, par J.-C. Gatto, suivie de lectures de poèmes ;

·      Influences occultes dans la Justice, par Me B. Méry ;

·      Histoire de l’Algérie : 1830-1962, par J.-C. Gatto ;

·      Choses vues au procès de Maurras, par A. Louberssac, suivies d’extraits de déclarations faites par Maurras au procès ;

·      L’A.F. au pays basque depuis 1968, par P. Renard ;

·      Biarritz 2008 : pari tenu, par V. Gaillère, délégué régional de l’A.F. en Aquitaine et dans le Grand Sud-Ouest.

 

N’hésitez donc pas à enrichir votre discothèque en faisant une bonne œuvre : la moitié du produit des ventes sera reversée au Journal.

 

Prix : 13 € franco de port. Adresser ses commandes à : C.A.E.C. – B.P. 80093 33035 BORDEAUX CEDEX. Règlement à la commande par chèque à l’ordre de C.A.E.C. – C.C.P. 15 503 63 W.

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publié par la Fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 11:00

Le cycle de conférences 2008-2009 de la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest de l’Action française s’est ouvert, du 21 au 23 novembre, par une série de conférences de Melle Marguerite Puget, agrégée des lettres et journaliste sagace, qui fit revivre avec verve et talent, d’après son livre (Clovis, 2008), Le Cardinal de Cabrières : un modèle de catholique et de royaliste français, pour le plus grand plaisir de ses auditeurs. Se déroulant sur les théâtres divers des villes de Bordeaux, Toulouse et Biarritz, dans une même ambiance chaleureuse et fervente, la séance inaugurale a manifesté l’unité des royalistes d’Action française dans la fidélité au président du Comité directeur. Chacune de ces réunions a eu lieu sous la présidence de Vincent Gaillère, délégué régional, qui démontra la nécessité de demeurer également fidèles à la mémoire des hommes qui firent ce que nous sommes et à l’héritage politique et doctrinal, parfaitement actuel, qu’ils nous ont légué. Elles ont permis à un public très motivé de connaître plus à fond la personnalité, l’époque et l’œuvre du grand prélat languedocien, mort en 1921, qui porta sur les fonds baptismaux notre Institut et défendit l’A.F. dans les mauvais procès qui lui étaient faits par des clercs dévoyés. D’autres conférences sont d’ores et déjà programmées dans le Grand Sud-Ouest : l’Action française vivra !

 

 

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publié par la Section de Toulouse - dans Comptes rendus de nos activités
15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 07:00

Il y avait belle lurette (au moins depuis les « Jeannes interdites » des années 1990) qu’une manifestation de l’Action française n’avait soulevé, dans la province qui l’abrite, une telle polémique. C’est bon signe sur la vitalité de l’A.F. que d’aucuns disaient mortellement atteinte. Bien que le choix du lieu par la maîtrise du camp d’été de Biarritz 2008 ne visât pas initialement à réaffirmer l’appartenance française de cette province légitimement fière de sa forte personnalité et de la persistance de sa culture traditionaliste, il faut reconnaître qu’il met en évidence à la perfection la profonde actualité de la doctrine régionaliste du Maître du nationalisme intégral : sub Rege respublica, le Roi en ses conseils, le peuple en ses états.


 Maurras à Clairvaux (photo D.R.)

Or donc, dès avant l’ouverture des portes de notre 56ème Université d’été,  l’organe gauchiste de la jeunesse séparatiste Ekaïtza, n° 1139 du 27 août, s’époumonait, à l’aide d’un article aussi risible que tendancieux assimilant arbitrairement Action française et fascisme, à mobiliser le dernier carré des sectateurs de l’autarcie internationaliste basque. A posteriori, le n° 1140 du même périodique devait tenter de justifier son activisme en faisant, bien maladroitement et au prix de nombreux contresens, l’exposé de nos doctrines : même le diable porte pierre, disait Mistral !




Jeunes gens et Jeunes Filles royalistes à la plage (photo: section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes.)
 


Cependant que le sérieux et apolitique Journal du Pays Basque du 2 septembre devait comptabiliser une cinquantaine de participants par jour à notre camp d’été, on vit paraître, à la journée « portes ouvertes », dix-huit purs produits de la société de consommation, parfaitement identifiés, qui se rassemblèrent mornement, comme les bœufs vont à l’abattoir, devant le lieu de notre Université, quartier de Parme. Aucun slogan ne fut proféré, seule une pauvre banderole portait : « Faxistei egurra!!! Royaliste, fasciste, on vous attends » (sic). Il ne conviendrait pas de donner à cette rodomontade puérile, visant à cacher la réalité de la perte de vitesse des séparatistes, plus d’importance qu’elle n’en mérite, d’autant plus qu’à aucun moment les activités de notre Université d’été ne s’en sont trouvé perturbées, qu’il s’agisse des conférences magistrales, des ateliers pratiques et des sorties militantes qui firent connaître l’Action française à la population, ou encore des loisirs encadrés à la Grande Plage.




Les royalistes sur tous les fronts (photo: section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes.)


En particulier, les causeries sur l’Action française au pays basque depuis mai 1968, la figure du roi dans l’Antiquité, la crise de l’Autorité par Gaël Fons, les influences occultes dans la Justice de Me Méry et celle de clôture du président Blanchonnet (cf. L’A.F. 2000 n° 2754) se poursuivirent, pour le plus grand intérêt des participants. L’émouvant dépôt d’une superbe gerbe de lys, généreusement offerte par les Dames d’Action française et choisie par les Jeunes Filles royalistes de Biarritz, prévue au monument aux Morts basques de Saint-Jean-de-Luz, dû au ciseau de Maxime Réal-del Sarte, a été effectué comme prévu par notre délégation en début d’après-midi.



Le dépôt de gerbe (photo: Section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes.)



Cependant, on doit noter que les séparatistes ne s’y sont pas trompés : c’est bien le Centre royaliste d’Action française présidé par Stéphane Blanchonnet, la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest de Vincent Gaillère et la dynamique section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes dirigée par Me Philippe Fortabat-Labatut qui sont, de Dunkerque à Biarritz, le seul rempart de l’Unité française et du Bien commun, face à la démission de la République atlantiste de Sarkozy, ses préfets et ses généraux, et contre l’Europe totalitaire et raciste aux cent drapeaux et à la monnaie unique que nous concoctent autocrates de Bruxelles et financiers de New-York…

 
La soirée festive de la journée "portes ouvertes" (photo: section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes.)


La cohésion inébranlable dans l’adversité est bien la marque de fabrique de notre école de pensée. Nous exprimons toutes nos félicitations aux jeunes gens réactionnaires et aux jeunes filles royalistes pour leur courage : ils ont forcé notre admiration. Biarritz 2008 aura servi à convaincre tout le public patriote et souverainiste de la région qu’en dehors du Roi, il ne saurait y avoir de solutions viables aux problèmes français de tous ordres, en particulier la nécessité d’une saine décentralisation, libérée des pressions ploutocratiques et partisanes centrifuges, qui vont encore se déchaîner l’année prochaine lors des élections européennes et régionales…


 
"Plus haut, plus fort, plus loin": la devise de nos Jeunes Filles royalistes (photo: section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes.)


Notre force n’est donc pas seulement d’avoir raison, mais de « saisir l’avantage que le fait d’avoir raison vaut à une politique » (Bainville) : les royalistes d’Action française ont prouvé encore une fois par leur volonté, leur endurance et leur courage qu’ils sont des hommes sur lesquels la France pourra compter à l’avenir. Rendez-vous est pris avec confiance pour la 57ème Université d’été de l’A.F. ! Merci pour tout, amis et commanditaires d’Ekaïtza !
 

 

 

 

N.B. Retrouvez toutes les conférences et les activités de Biarritz 2008 sur notre site: http://www.actionfrancaiseaquitaine.com. Les dons de nos amis pour la publication des actes de l’Université d’été peuvent toujours être libellés à l’ordre de : C.A.E.C. 1550363 W et adressés sans limite de temps à : C.A.E.C. – B.P. 80093 33035 Bordeaux Cedex.

Dans L'Action Française 2000, n° 2755 (photo D.R.)

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publié par la Section de Toulouse - dans Comptes rendus de nos activités
2 juin 2008 1 02 /06 /juin /2008 08:00

Comme elle en est coutumière, malgré des difficultés de tous genres, la fédération Grand Sud-Ouest de l’Action française a clôturé par des manifestations d’ampleur une année militante particulièrement chargée du fait du décès du regretté Pierre Pujo, auquel, bonne première, elle avait rendu hommage dès le 8 décembre, et aussi de ses projets de développement durable !

 

Le 7 mai, dans le cadre de la préparation de la commémoration du 70ème anniversaire de sa levée, le 15 juillet 1939 par Pie XII, l’historien de grande classe Philippe Prévost  a évoqué, devant un public bordelais et girondin captivé, « La Condamnation de l’A.F. : Mythes et réalité ». Après une telle conférence, il ne saurait subsister aucun doute sur son caractère exclusivement politique.


 

Au pied de la statue équestre
de la Sainte de la Patrie à Bordeaux,
la gerbe de la
fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest
de l'Action française.
(Photo: D.R.)

 

 

Le 11, la fête nationale de Jeanne-d’Arc s’est déroulé dans l’ordre le plus parfait en présence d’une assistance particulièrement méritante. Après l’émouvant dépôt d’une gerbe de lys, le Délégué régional Vincent Gaillère a fait, dans son discours politique, le bilan de l’année écoulée et tracé des perspectives d’espérance en l’avenir : parmi celles-ci le fait que la Fédération s’appuie désormais sur un pilier supplémentaire, celui de Toulouse où,  le 9 février dernier, a eu lieu la première réunion d’A.F. depuis treize ans. On notera également que, pour la première fois depuis dix ans, un cycle complet de formation à nos doctrines a repris régulièrement dans la région, grâce à la dynamique section « Béarn-Bigorre-pays basque-Landes » que dirige notre très fidèle et sûr ami Ph. Fortabat-Labatut.

 

Le 17, à l’occasion d’un déplacement à Paris pour des consultations politiques, le Délégué régional a donné, pour honorer la haute mémoire de Pierre Pujo qui l’avait invité à collaborer à sa rédaction, une séance exceptionnelle de dédicaces du Trésor de l’Action française (éd. L’Age d’Homme) à la librairie amie La Licorne bleue, rue Jules-Vallès dans le XIème arrondissement, qui a connu un franc succès.

 

Tout cela montre assez à quel point, en dépit des coassements des oiseaux de mauvais augure, notre Fédération compte inscrire son militantisme sur le long terme et le fonder sur le roc indestructible de la doctrine du nationalisme intégral, sans faire de concessions inutiles au respect humain, ni à l’ennemi qui s’insinue parfois jusque dans les rangs les mieux protégés du Mouvement national.

 

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publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
11 février 2008 1 11 /02 /février /2008 09:00

Pour « Ceux qui ont la mémoire/ Ceux qui ont le cœur haut », il était important de ne pas laisser se terminer la funeste année 2007, qui a vu les disparitions de Henri Gept et de Pierre Pujo, sans que soit sérieusement assuré l’avenir du nationalisme français en Haute-Garonne. Aussi les responsables de la fédération Grand Sud-Ouest et de la section reconstituée de Toulouse de l’Action française avaient-ils organisé ce samedi 9 février une réunion, à laquelle nos fidèles amis ont largement répondu : « Présents » ! Grâce à la participation active de ces hommes d’élite, le flambeau de notre espérance a ainsi pu être rallumé en Toulousain, comme il a pu briller en pays basque et à Bordeaux les 8 décembre et 26 janvier derniers.



 

Dans son discours politique, le délégué régional de l’Action française dans le Grand Sud-Ouest, M. Vincent Gaillère, a fait remarquer que cette réunion était la première réunion d’Action française à Toulouse depuis treize ans, c’est-à-dire depuis que Henri Gept, président de l’Union royaliste du Midi-Pyrénées, avait renoncé à ses fonctions. Quel plus grand exemple d’humilité, pour tous les chefs ou ceux qui aspirent à l’être, que de connaître leurs limites et de savoir se retirer à temps ?

 

Henri Gept n’ayant pas été véritablement remplacé, il était naturel que, de son vivant et de celui de Pierre Pujo, et avec leur assentiment, les responsables de la fédération soient amenés à suivre étroitement l’actualité politique de la région. La fédération exerce dorénavant sa propagande royaliste dans le vaste cadre du Grand Sud-Ouest aquitain ; cette solution, préférable à une confortable inaction, était d’ailleurs réclamée par nos amis. Différents projets à moyen et long termes, fixant des objectifs limités, mais réalistes ont été ensuite envisagés.

 

Le délégué régional a également évoqué le combat principal de la fédération et de la section de Toulouse pour les années à venir : la lutte contre le processus d’intégration européenne, au moyen d’une pseudo-Constitution. La patrie est en danger, menacée par le Mauvais Traité de Charkeuzy : la défendre est un devoir pour tout bon Français.

 

Après avoir excusé ceux des orateurs pressentis qui avaient été retenus par d’autres obligations, il a passé la parole à Philippe Prévost,  historien compétent et journaliste à L’Action Française 2000 universellement apprécié, qui entretint un auditoire captivé des Origines de la tragédie palestinienne, laquelle concerne la France éternelle à plus d’un titre et façonne, par les forces qu’elle met en jeu, l’évolution des relations internationales. Les responsabilités de Clemenceau dans cette page d’histoire qui obère, encore aujourd’hui, notre action au Proche-Orient, les divers aspects militaires, politiques, diplomatiques et religieux de la question ont été exposés en détail, pour le plus grand intérêt du public.

 

A la suite de la causerie et des questions, nos amis ont longuement flâné autour des stands de livres et de journaux consacrés à l’histoire et à la pensée d’A.F. Ph. Prévost et V. Gaillère se sont gracieusement prêtés à une séance de dédicaces des ouvrages auxquels ils ont contribué. Un sympathique déjeuner a clos la réunion dont les participants ont été unanimes à louer le succès.

 

 

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publié par la Section de Toulouse & Haut-Languedoc - dans Comptes rendus de nos activités
20 décembre 2007 4 20 /12 /décembre /2007 09:00

La première de toute la France et de la Navarre, la section Béarn-Bigorre-pays basque-Landes de l’Action française, a organisé le 8 décembre 2007, avec le soutien de la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest, une soirée d’hommage à la mémoire de Pierre Pujo et de soutien au Journal et à son rédacteur en chef Michel Fromentoux.

 

 

 

Le seul nom, combien honorable, de son promoteur, maître Philippe Fortabat-Labatut, garantissait que l’ambiance y serait à la fois digne et chaleureuse ; ce fut bien le cas. Venu spécialement, le président de l’association La Croix blanche : Miracle de Bayonne rappela les liens anciens unissant le principal collaborateur politique de notre regretté chef au pays basque.

 

 

 

Après la projection du film émouvant d’une conférence prononcée en 2003 à Biarritz, où l’on retrouvait la figure tant aimée et servie fidèlement en province de Pierre Pujo, et la lecture de son « testament politique » du 20 octobre dernier à Saint-Maximin, Michel Fromentoux évoqua la vie héroïque et les durs combats d’un homme qui aurait pu aspirer comme tant d’autres à jouir de son grand nom, à se complaire en mondanités et à faire carrière dans la Haute Banque. Issu d’une très ancienne lignée, Capétien à sa manière, Pierre Pujo a assuré par devoir, sa vie durant, la régence du nationalisme, en toute humilité : grande leçon pour nous tous, en vérité !

 

 

 

Ayant fait d’A.F. Université un modèle de revue pour jeunes de bonne tenue, il succéda à Xavier Vallat comme directeur d’Aspects de la France (auquel il devait rendre plus tard son titre historique). A ce poste, il refusa l’aggiornamento illusoire de la dissidence « nafe », comme disait Pierre Juhel, et les tentatives inconsidérées de rapprochement de certains membres du Comité directeur.

 

 

 

C’est en restant ferme sur les principes, « sans changer un mot de la doctrine » qu’il surmonta les scissions, les attentats, les interdits du Pouvoir. Cela a pu lui valoir une réputation de dureté et de rigidité, mais qu’ont fait de mieux ceux qui l’ont critiqué ? Comme l’ont prouvé les succès du sauvetage de Mayotte et du combat contre l’ « Europe-puissance », « maintenir, c’est créer » (Maurras).

 

 

 

Le délégué régional de l’A.F. pour l’Aquitaine et le Grand Sud-Ouest, M. Vincent Gaillère, prononça ensuite une allocution rendant hommage à l’ampleur des vues du défunt, à sa sûreté doctrinale, supérieure à celle de maints penseurs actuellement en vogue. Il ne cacha pas que le disparu pouvait avoir les défauts de ses qualités, surtout en matière de jugements sur les individus à qui il faisait parfois indûment confiance, mais qu’il resterait, au même titre que Drumont, Barrès, Maurras, Pétain, Ploncard-d’Assac, « un maître de la Renaissance française à venir ».

 

 

 

On notera que le 12 décembre, une messe a été célébrée pour le repos de son âme et aux intentions de l’A.F., à l’initiative de la fédération Aquitaine-Grand Sud-Ouest, en présence d’une cohorte de nos amis, groupés autour du fanion de la fédération, en l’église Saint-Eloi, dont Pierre Pujo avait admiré la restauration par l’institut du Bon-Pasteur lors de son dernier séjour à Bordeaux. Au terme de celle-ci, le délégué régional a prononcé l’éloge funèbre d’usage sous l’arche de l’antique beffroi municipal.

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publié par la Fédération interprovinciale du Grand Sud-Ouest de l'A.F. - dans Comptes rendus de nos activités
5 novembre 2007 1 05 /11 /novembre /2007 08:00

Mes Chers Amis !

 

Votre présence à l’édition 2007 de la journée d’amitié & d’Action française est un signe qui ne trompe pas : grâce à l’intelligence, à la piété filiale et au dévouement à la Cause nationale et royale de nos amis Danielle Wilkin et de son mari, le nationalisme intégral revit dans son berceau de Provence ! Il était donc tout naturel que les royalistes du Grand Sud-Ouest aquitain apportassent à cette manifestation désormais traditionnelle des Blancs du Midi un salut fraternel et le témoignage de leur profonde union de pensée et d’action.

 

Car l’A.F. véritable, que certains d’entre vous découvrent ou redécouvrent ici dans son « canal historique », aime à se définir avant tout UNE AMITIE AU SERVICE DU VRAI. Où, mieux qu’en province, au cœur du pays réel, pouvait-on éprouver comme à Saint-Maximin, cité comblée de bienfaits par les quarante Rois qui ont fait la France, ce sentiment réconfortant d’unité mentale ?

 

Vous comprenez bien qu’une définition aussi élevée exige de ceux qui la formulent un comportement exemplaire et d’abord une méthode rigoureuse, que nous appelons après Maurras : l’EMPIRISME ORGANISATEUR, c’est-à-dire l’intelligence, nourrie des précédents historiques, contrôlant l’observation, dépourvue de préjugés de parti ou de caste, des faits politiques et sociaux, – le tout en prenant pour règle immuable l’intérêt de la Communauté à laquelle, pour le meilleur et pour le pire, nous appartenons. C’est dire s’il serait lâche et vain pour nous de nous dissocier artificiellement de nos compatriotes, sous le prétexte qu’ils ne partagent pas en tout notre idéal de citoyens ; nous sommes solidaires de leur sort, cette réalité commande tout. Servir son Pays est une tâche bien souvent ingrate, mais qui ne souffre aucune espèce de désertion. Aussi les hommes d’Action française continueront de maintenir intacte leur doctrine de salut public. C’est le sens de cette manifestation : « Pour la France, envers et contre tout, le combat continue ! »

 

Peut-être, Mes Chers Amis, vous sentez-vous parfois las de remonter, tel Sisyphe, le rocher de la France éternelle sur la pente de nos abandons toujours renouvelés ? de combattre les effets néfastes de l’action des forces occultes qui gouvernent le monde ? Peut-être en avez-vous assez des calculs puérils de stratèges en chambre, de Machiavel au petit pied, des compromissions de faux amis avec l’adversaire et des mondanités improductives de romantiques adorateurs d’hommes forts, quels qu’ils soient ?

 

Je sais tout cela et partage votre dégoût, mais je veux vous dire que notre décadence n’est pas inéluctable ! La France de 2007, – même abaissée dans son prestige intellectuel, militaire et diplomatique, même humiliée par l’étranger d’outre-Atlantique ou d’outre-Méditerranée, même trahie par ses politiciens pourris, – demeure tout de même la France ! Nous, ses fils, n’avons pas le droit de médire d’elle, de la dire finie, de déposer, comme si nous étions les derniers Français, le fardeau de l’héritage national ! Elle contient des ressources matérielles et morales immenses, que nous n’avons que trop l’habitude de minorer, parce qu’au fond, notre foi en notre patrie s’amoindrit en s’aigrissant de nos défaites !

 

Salazar disait à Braga au 28-Mai 1936 : « Nous ne discutons pas la patrie et son histoire ! » Faisons donc pareil ! Retrouvons, avec la confiance en sa destinée « naturellement et historiquement privilégiée », les raisons qui ont empêché nos pères de jamais désespérer de la France qui, aujourd’hui comme aux siècles de Charles VII, de Henri IV, de Louis XVIII ou du maréchal Pétain, reste capable, par le sérieux du patriotisme et du travail, et par l’ordre, fruit de la justice due à tous, de remonter du fond de l’abîme !

 

Thierry-Maulnier, qui fut un prolongateur très sûr de la pensée de Maurras, remarquait justement, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, que, si la France est un Etat, organisme politique, elle est aussi une civilisation, composé subtil de mœurs, de traditions et d’habitudes de pensée, dont le trait principal est la conciliation des contraires dans une synthèse plus haute. Pertinente pour toute les époques, sa remarque montre à quoi doivent tendre nos efforts : la prise du Pouvoir est essentielle et prioritaire pour que triomphent nos idées, mais elle ne saurait tenir lieu de la réforme intellectuelle, spirituelle, sociale et économique qui conditionne le renouveau durable de notre Nation.

 

Ce doit être notre objectif ultime, qui ne saurait se limiter à une simple substitution de régime, à mettre un roi constitutionnel à la place d’un président omnipotent, en laissant la réalité de l’influence à la bourgeoisie mondialiste qui rêve d’unification européenne et d’alignement transatlantique ! Pour sauver nos libertés et rendre à notre Pays sa grandeur, nous voulons un Roi à la française, qui règne et qui gouverne, par lui-même ou par l’intermédiaire d’un ministre.

 

Mais, pour vaincre, encore faut-il rester soi-même, différencié de l’Anti-France ennemie. Pour cela, il nous faut tous combattre absolument l’édulcoration de notre message politique. Il ne faudrait pas confondre ceux à qui nous nous adressons : nos concitoyens, qu’il faudra bien rallier aux solutions de renouveau, et le désir inconsidéré de plaire au tout-venant, au risque de perdre sur un coup de dés électoral ou médiatique les chances de la Nation. N’en déplaise aux arrivistes qui traversent à grandes enjambées notre vaste camp, nationalistes nous sommes, nationalistes nous demeurerons, car nous voulons que nos petits-neveux restent Français.

 

Mes Chers Amis,

 

Pour que vive la France, à bas la République et vienne le Roi !

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