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Pour En Savoir Plus Sur Nous...

  • Section de Toulouse-Languedoc d'Action française
  • Refondée en 2008 après une période d'hibernation par le Délégué régional de l'Action française dans le Grand Sud-Ouest Vincent Gaillère, la section de Toulouse & Haut-Languedoc rayonne sur la Haute-Garonne, le Tarn, le Tarn-et-Garonne, le Lot, l'Aude, l'Aveyron, l'Ariège et les Pyrénées-Orientales.
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Archives Militantes De L'action Française-Toulousain Depuis 2007!

25 décembre 2013 3 25 /12 /décembre /2013 19:00

On lira ci-après une intéressante interviouve parue dans La Dépêche du 17 novembre dernier sur le patrimoine religieux de la ville de Toulouse. L'apport de l'Eglise aux arts et lettres est en effet immense. Sur le plan du tourisme, l'existence de telles richesses architecturales ne peut qu'apporter des devises à la ville, et l'on comprend que l'actuelle municipalité cherche à l'entretenir. La section de Toulouse & Haut-Languedoc de l'Action française ne peut que s'en féliciter, ainsi que du patriotisme local que montre par là le grand quotidien radical-socialiste régional.

 

A.F.-Toulouse & Haut-Languedoc

Toulouse vue aérienne

Une vue aérienne de Toulouse,

la "Florence occitane" aux cent clochers (Photo D.R.)

 

"Églises, couvents, monastères, hospices, chapelles, écoles… à travers les âges, la religion catholique a construit des centaines d’édifices dont certains sont un peu cachés voire totalement mé connus de la plupart des Toulousains, et d’autres qui sont passés du cultuel au culturel, comme l’auditorium Saint-Pierre-des-Cuisines, une ancienne église, ou le musée des Augustins, un couvent. Jean-Claude Jaffé, ancien professeur d’espagnol passionné d’histoire religieuse et le photographe Arnaud Späni prennent le lecteur par la main pour une promenade curieuse et spirituelle.

 

Q. - Comment définir le patrimoine catholique de Toulouse ?

 

R. - J.-C. Jaffé. - Il est très riche. Avant le développement de la ville, Toulouse intra muros était une concentration d’églises, monastères, couvents. Un certain nombre a été vendu par l’Eglise ou rasé. On a perdu beaucoup de choses, même avant la Révolution. Mais il reste encore beaucoup d’édifices, un vrai patchwork de styles, très contrasté. J’ai dénombré soixante églises et au moins une centaine de lieux de culte catholique dans la ville. Je pensais pourtant bien connaître ce patrimoine et j’ai découvert des petites chapelles qui sont des bijoux, au centre-ville.

 

Q. - Par exemple ?

 

R. - La chapelle Saint Jean-Baptiste, rue Antonin Mercié. Il faut vraiment s’appuyer sur le mur d’en face pour voir une chapelle de quatre étages, complètement intégrée, incarnée dans les habitations. J’en signale une autre, un peu plus connue, vers le Palais de justice, Notre-Dame de Nazareth, ouverte au culte de «la paroisse italienne». C’était la chapelle de prédilection des magistrats. Beaucoup s’y faisaient enterrer.

 

Q. - On découvre même une grotte de Lourdes !

 

R. - Il y a plusieurs reproductions de la grotte de Massabielle à Toulouse. La plus belle est celle de l’Immaculée Conception, près de l’église du faubourg Bonnefoy. Elle se trouve au cœur d’un jardin avec une très belle fontaine. Il y en a une autre dans le lycée Sainte-Marie de Nevers, une dans la chapelle de l’ancien orphelinat de la Grande Allée, sur les allées Frédéric Mistral…

 

Q. - Quels sont vos coups de cœur ?

 

R. - J’aime beaucoup la chapelle des Carmélites qu’on appelle «la petite chapelle Sixtine toulousaine» mais elle n’est pas toujours ouverte et, l’autre jour, j’ai vu quelques fuites dans le toit. Ma préférée est l’église du Gésu, rue des Fleurs, avec ce nom bizarroïde qui vient de l’italien «Gesuiti». Elle a trois niveaux, de nombreux et riches vitraux, des fresques peintes au XIXe par le frère de l’architecte et un clocher de 53 mètres, le plus haut de Toulouse.

 

Q. - Ce patrimoine est-il en bon état et qui l’entretient ?

 

R. - Mis à part Saint-Etienne qui est propriété de l’Etat, la plupart des édifices et il y en a pas mal, appartiennent à la Ville. C’est un lourd héritage car les églises ont besoin d’entretien régulier. Ce sont des chantiers que l’Eglise ne pourrait pas assumer.

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publié par la Section de Toulouse-Languedoc d'Action française - dans Politique religieuse

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